Sa vie, son oeuvre
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Jean Sébastien Gonzague de Linutil
naît en 1710 dans un petit château du Nivernais. Très
jeune, déjà, Jean Sébastien Gonzague est attiré
par la musique. Il s'essaie quelque temps au violon, mais les cordes en
boyau de chat de l'instrument lui provoque de l'urticaire. |
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Il se tourne alors vers ce qui restera son instrument
de prédilection : la voix. Ou plutôt l'aboiement, puisque
la quasi totalité de son oeuvre sera écrite pour voix de
chien. |
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A l'âge de 30 ans, il est appelé
auprès du Roi qui lui confie l'organisation des fêtes en l'honneur
de l'anniversaire de Sa Majesté La Reine. C'est à cette occasion
qu'il compose son fameux opéra-ballet "Chichi, chien de race". Malheureusement,
à la suite d'une erreur dans le décompte des bougies du gâteau
d'anniversaire de la Reine, Jean Sébastien Gonzague est prié
de se retirer dans ses terres nivernaises. |
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Il n'en bougera plus jusqu'à sa mort,
brutale et mystérieuse, 3 ans plus tard, empoisonné, dit
la rumeur, par un de ses rivaux jaloux. Il laisse inachevé son "Requiem
pour un chat", oeuvre paradoxale à laquelle il travaillait
encore au moment de sa disparition. D'aucuns ont vu en lui le Mozart canin
du XVIIIème siècle Nivernais. Son oeuvre, non encore publiée
à ce jour, reste à découvrir. |
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Manuscrit autographe laissé
inachevé par Jean Sébastien Gonzague de Linutil au moment
de sa mort. Les ratures et taches finales ont longtemps défrayé
la chronique, avant qu'on ne découvre qu'il s'agissait simplement
de fraise écrasée. |
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