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Tintin au Congo : la célèbre
"Ford T", dans sa version "sport et aventure", quoique un peu délabrée...
Pourtant, à un passage à niveau, en percutant un train elle
en renversera la locomotive ! On est au Congo, Missié... |
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Tintin en Amérique : un faux camion
de trafiquants mais, dans les tonneaux de bière, de vrais policiers
! l'heureux temps de la prohibition ? Si on voit Milou, menaçant,
son maître est pourtant bien là, mais du côté
du siège passager. |
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Les Cigares du Pharaon : Pour pousuivre
les bandits qui ont enlevé le fils du maharadjah Rawhajpoutalah,
Tintin lui emprunte sa voiture de course. |
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L'île Noire : Tintin fait de l'auto-stop
en caravane, tractée par un cabriolet Triumph Herald 1200, so
british... Toutefois, la prochaine côte sera fatale à
ce fringant attelage. |
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Le sceptre d'Ottokar : Tintin est conduit
à Klow par les gendarmes syldaves qui, croit-il, vont simuler une
panne pour lui permettre de s'échapper. En fait c'est un complot
destiné à le faire disparaître. Séquence dramatique...
mais Tintin s'en sortira ! |
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Tintin au pays de l'or noir : la torpédo
des Dupondt (une antique Citroën 5 HP) . "Boum quand vot' moteur fait
boum !" comme dit la publicité des dépanneuses "Simoun"...
Car l'essence est trafiquée et le moteur à explosion va enfin
mériter son nom. |
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L'Affaire Tournesol : rencontre providentielle
entre le capitaine Haddock et la superbe (et rapide !) Lancia Aurelia du
Signor Arturo Benedetto Giovanni Giuseppe Pietro Archangelo Alfredo Cartofolli
de Milano. Avanti ! |
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Les Bijoux de la Castafiore : Les Dupondt
ont un faible pour les 2 CV Citroën. Ils ont également une
certaine faiblesse dans les réflexes qui les fait, en général,
"treiner un peu trop fard". D'où l'état froissé de
la tôle, mais ça roule ! |